« Cultiver son jardin » de Tuong Vi Nguyen Long


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Projection le dimanche 27 avril à 19h30

“Pendant 10 ans, le montage a été pour moi une source d’épanouissement. Chaque film est l’occasion de découvrir un univers particulier, de voyager au travers d’un regard. Avec le temps cet élan vers l’autre a évolué. Ce besoin d’être nourrie de mille et une rencontres s’est mué en une nécessité de questionner plus largement le monde. Le documentaire s’est révélé comme une clef idéale pour m’accompagner dans mes réflexions.Il crée un pont entre mon individualité et celle des autres”.

Un jour d’automne au cimetière, une vietnamienne de 76 ans vient jardiner sur la tombe de ses parents. Accompagnée de sa fille qui la regarde prendre soin du caveau recouvert de terre et non de marbre, elles discutent de la vie, de l’après et des rites liés à la mort.

Le film a reçu en 2013 le “Prix du jury jeune public” et le “Prix du jury” au Festival CorsicaDoc.

Un film poétique sur le rapport à la mort , sur le rapport entre la mère et la fille et face aux questions : la mort, l’enterrement, …

Tuong Vi - Photo film

La genèse de ce projet et le film :

Les Ateliers Varan et le parcours de réalisation :

« Cultiver son jardin”, son film fait AprèsVaran :

Quel sentiment de retourner à Varan avec « Cultiver son jardin” ?


A propos de Mina Rad

Mina Rad, filmmaker and producer has made the films about anthropologist and great film-makers : Jean Rouch (France), Pierre Perrault (Canada)and Renato Athias ( Brésil). She is the founder of Apresvaran, an alumni association of Ateliers Varan and director of the International Apresvaran Documentary Film Festival in Paris. "The Hupd’äh Enchanted Words of the Amazon - Masters of knowledge, narrated by Renato Athias", 52', 2020, "The future of the past, Pierre and Yolande Perrault", 61’, 2019, "Persian Tales, Jean Rouch in Iran", 57’, 2018, “Jean Rouch Persian look”, 52’, 2017. In 2012 her first film,made during Atelier Varan training, entitled “For me the sun never sets” was awarded the Best Documentary Film at Verity Festival in Iran, and the jury mentioned, “For the warmth and simplicity to tell a profound story.”

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